mercredi 14 octobre 2009

les genres romanesques

II- Le roman d'analyse:

Le roman d'analyse se consacre à explorer les sentiments de personnages souvent partagés entre l'amour et la vertu, le désir et le renoncement. Dans un décor resserré, le roman d'analyse décrit leurs réactions devant une passion soudaine qui les déborde, un choix de vie difficile. Anxieux, tourmentés, les personnages interprètent les attitudes, les paroles, les regards des autres; ils s'analysent eux-mêmes, avec exigence, avec lucidité.

II- Le roman par lettres:

Les personnages rapportent leurs découvertes, confient leurs émotions, entretiennent le dialogue avec un être cher. Si la lettre est l'occasion de rapporter directement un témoignage, d'exprimer un sentiment, elle est aussi moyen de séduction, conquête du destinataire. Dans le roman par lettres, l'échange des lettres multiplie les points de vue, fait avancer l'action. Lettres secrètes, perdues, interceptées: les intrigues se croisent, le roman progresse à travers le jeu subtil des correspondances.Le roman par lettres connaît son plein essor au XVIIIe siècle qui privilégie l'échange des idées et des sentiments.
exemples: les Lettres persanes de montesquieu, La Nouvelle Heloïse de Rousseau, Les Liaisons dangereuses de Laclos.

III- Le roman autobiographique:

Il ne faut pas confondre le roman autobiographique avec l'autobiographie d'un écrivain qui fait le récit de sa propre vie. Le roman autobiographique met en scène un personnage fictif qui, arrivé au terme de son existence, raconte son histoire au lecteur à la première personne. Avec ses succès, ses échecs, le héros traverse les milieux les plus divers, tandis que l'écrivain joue du regard que le narrateur vieillissant porte sur le jeune homme - enthousiaste, amoureux - qu'il a été.

IV- Le roman historique:

Faire revivre le passé, recréer l'atmosphère d'une époque disparue: le romancier offre alors au lecteur un univers romanesque ancré dans l'Histoire. Les personnages fictifs croisent des personnages historiques, évoluent dans un cadre minutieusement reconstitué. Le pittoresque des lieux, des objets, le charme du dépaysement s'ajoutent à l'évocation des conflits politiques et militaires, des structures sociales, des confrontations idéologiques qui ont animé une époque.

V- Le roman réaliste:

L'écrivain réaliste construit son récit, présente ses personnages de manière à donner au lecteur l'impression de la réalité. Les lieux de l'action appartiennent au monde réel; les personnages traversent des situations empruntées à la vie quotidienne.

VI- Le roman d'aventures:

Le roman d'aventures projette le lecteur dans un univers différent du sien. Il provoque le dépaysement à travers la diversité, la singularité des lieux ou entraîne l'action. Les rebondissements sont nombreux, les obstacles rencontrés obligentle heros à faire preuve d'audace et de courage, de ruse et de force.Dans le roman de chevalerie, le héros part en quête de « l'aventure » pour montrer sa bravoure.

VII- Le roman policier:

L'usage de l'esprit scientifique, du raisonnement logique stimule par la découverte d'un crime fait le plaisir du roman policier. À la société civilisée qui veut bannir toute violence, effacer tout désordre, le crime lance un défi. Un vol, une disparition, une mort brutale conduisent le héros à trouver des indices et des mobiles, interroger les suspects, résoudre l'énigme. Au terme de son enquête, la violence a été déchiffrée, l'ordre restauré... Le roman policier évolue du plaisir intellectuel d'identifier le coupable à l'exploration de l'univers glauque des mégapoles modernes: du roman à énigme au roman noir.

mercredi 23 septembre 2009

les tonalitées

les différentes tonalités:

La tonalité d'un texte est une façon particulière de raconter un événement. En employant différents procédés d'écriture et en mettant en valeur certains thèmes, il est possible de provoquer chez le lecteur ou le spectateur diverses émotions : le rire, la tristesse, l'angoisse, la terreur...


tonalité lyrique:
elle parle de l'amour et de la nature.

extrait:
[Solal rêve de conquérir Ariane.]
Ô elle dont je dis le nom sacré dans mes marches solitaires et mes rondes autour de la maison où elle dort, et je veille sur son sommeil, et elle ne le sait pas, et je dis son nom aux arbres confidents, et je leur dis, fou des longs cils recourbés, que j'aime et j'aime celle que j'aime, et qui m'aimera, car je l'aime comme nul autre ne saura, et pourquoi ne m'aimerait-elle pas, celle qui peut d'amour aimer un crapaud, et elle m'aimera, m'aimera, m'aimera, la non-pareille m'aimera, et chaque soir j'attendrai tellement l'heure de la revoir et je me ferai beau pour lui plaire, et je me raserai, me raserai de si près, pour lui plaire, et je me baignerai, me baignerai longtemps pour que le temps passe plus vite, et tout le temps penser à elle, et bientôt ce sera l'heure, ô merveille, ô chants dans l'auto qui vers elle me mènera, vers elle qui m'attendra, vers les longs cils étoilés, ô son regard tout à l'heure lorsque j'arriverai, elle sur le seuil m'attendant, élancée et de blanc vêtue, prête et belle pour moi, prête et craignant d'abîmer sa beauté si je tarde, et allant voir sa beauté dans la glace, voir si sa beauté est toujours là et parfaite, et puis revenant sur le seuil et m'attendant en amour, émouvante sur le seuil et sous les roses, ô tendre nuit, ô jeunesse revenue, ô merveille lorsque je serai devant elle, ô son regard, ô notre amour, et elle s'inclinera sur ma main, paysanne devenue, ô merveille de son baiser sur ma main, et elle relèvera la tête et nos regards s'aimeront et nous sourirons de tant nous aimer, toi et moi, et gloire à Dieu.

tonalité humoristique:
situation comiques.
caracteres des personnages et sur les mots.




extrait:

[Gabriel présente son numéro de strip-tease.]
- Alors, mes agneaux et vous mes brebis mesdames, vous allez enfin avoir un aperçu de mes talents. Depuis longtemps certes vous savez, et quelques-uns d'entre vous ne l'ignorent plus depuis peu, que j'ai fait de l'art chorégraphique le pis principal de la mamelle de mes revenus. Il faut bien vivre, n'est-ce pas ? Et de quoi vit-on ? je vous le demande. De l'air du temps bien sûr - du moins en partie, dirai-je, et l'on en meurt aussi - mais plus capitalement de cette substantifique moelle qu'est le fric. Ce produit mellifluent, sapide et polygène s'évapore avec la plus grande facilité cependant qu'il ne s'acquiert qu'à la sueur de son front du moins chez les esploités de ce monde dont je suis et dont le premier se prénomme Adam que les Élohim tyrannisèrent comme chacun sait. Bien que sa planque en Éden ne semble pas onéreuse pour eux aux yeux et selon le jugement des humains actuels, ils l'envoyèrent aux colonies gratter le sol pour y faire pousser le pamplemousse tandis qu'ils interdisaient aux hypnotiseurs d'aider la conjointe dans ses parturitions et qu'ils obligeaient les ophidiens à mettre leurs jambes à leur cou. Billevesées, bagatelles et bibleries de mes deux. Quoi qu'il en soit j'ai oint la jointure de mes genous avec la dite sueur de mon front et c'est ainsi qu'édénique et adamiaque, je gagne ma croûte. Vous allez me voir en action dans quelques instants, mais attention ! ne vous y trompez pas, ce n'est pas du simple sliptize que je vous présenterai, mais de l'art ! De l'art avec un grand a, faites bien gaffe ! De l'art en quatre lettres, et les mots de quatre lettres sont incontestablement supérieurs et aux mots de trois lettres, qui charrient tant de grossièreté à travers le majestueux courant de la langue française, et aux mots de cinq, qui n'en véhiculent pas moins. Arrivé au terme de mon discours, il ne me reste plus qu'à vous manifester toute ma gratitude et toute ma reconnaissance pour les applaudissements innombrables que vous ferez crépiter en mon honneur et pour ma plus grande gloire. Merci ! D'avance, merci ! Encore une fois, merci !

tonalité tragique:
elle vise à inspirer la terreur et la pitié.
elle pousse le personnages a la mort ou la souffrance.
Les thèmes sont la mort, la fatalité et la souffrance devant une lutte impossible

extrait:

[Mme de Tourvel vient d'avouer à son amie son amour pour Valmont et l'informe de son départ, décision à laquelle il lui est difficile de se soumettre.]
Je m'y soumettrai sans doute, il vaut mieux mourir que de vivre coupable. Déjà, je le sens, je ne le suis que trop; je n'ai sauvé que ma sagesse, la vertu s'est évanouie. Faut-il vous l'avouer, ce qui me reste encore, je le dois à sa générosité. Enivrée du plaisir de le voir, de l'entendre, de la douceur de le sentir auprès de moi, du bonheur plus grand de pouvoir faire le sien, j'étais sans puissance et sans force; à peine m'en restait-il pour combattre, je n'en avais plus pour résister; je frémissais de mon danger, sans pouvoir le fuir. Hé bien! il a vu ma peine, et il a eu pitié de moi. Comment ne le chérirais-je pas ? Je lui dois bien plus que la vie. Ah ! si en restant auprès de lui je n'avais à trembler que pour elle, ne croyez pas que jamais je consentisse à m'éloigner. Que m'est-elle sans lui, ne serais-je pas trop heureuse de la perdre ? Condamnée à faire éternellement son malheur et le mien; à n'oser ni me plaindre, ni le consoler; à me défendre chaque jour contre lui, contre moi-même; à mettre mes soins à causer sa peine, quand je voudrais les consacrer tous à son bonheur. Vivre ainsi n'est-ce pas mourir mille fois ? Voilà pourtant quel va être mon sort. Je le supporterai cependant, j'en aurai le courage. Ô vous, que je choisis pour ma mère, recevez-en le serment ! Recevez aussi celui que je fais de ne vous dérober aucune de mes actions; recevez-le, je vous en conjure; je vous le demande comme un secours dont j'ai besoin: ainsi, engagée à vous dire tout, je m'accoutumerai à me croire toujours en votre présence. Votre vertu remplacera la mienne. Jamais, sans doute, je ne consentirai à rougir à vos yeux; et retenue par ce frein puissant, tandis que je chérirai en vous l'indulgente amie, confidente de ma faiblesse, j'y honorerai encore l'Ange tutélaire qui me sauvera de la honte. C'est bien en éprouver assez que d'avoir à faire cette demande. Fatal effet d'une présomptueuse confiance! pourquoi n'ai-je pas redouté plus tôt ce penchant que j'ai senti naître? Pourquoi me suis-je flattée de pouvoir à mon gré le maîtriser ou le vaincre ? Insensée ! je connaissais bien peu l'amour ! Ah ! si je l'avais combattu avec plus de soin, peut-être eût-il pris moins d'empire! peut-être alors ce départ n'eût pas été nécessaire; ou même, en me soumettant à ce parti douloureux, j'aurais pu ne pas rompre entièrement une liaison qu'il eût suffi de rendre moins fréquente ! Mais tout perdre à la fois ! et pour jamais ! Ô mon amie !... Mais quoi ! même en vous écrivant, je m'égare encore dans des vœux criminels. Ah ! partons, partons, et que du moins ces torts involontaires soient expiés par mes sacrifices. Adieu, ma respectable amie; aimez-moi comme votre fille, adoptez-moi pour telle; et soyez sûre que, malgré ma faiblesse, j'aimerais mieux mourir que de me rendre indigne de votre choix.
De ..., ce 3 octobre 17**, à une heure du matin.

tonalité epique:
Associée à l'épopée, la tonalité épique exalte les valeurs héroïques liées à de grandes actions comme la guerre, le sacrifice des victimes, la gloire de Dieu, etc. Pour cela, l'utilisation de figures de styles, telle que l'hyperbole, permet de grossir, d'amplifier une action afin de la rendre extraordinaire.

extrait:

[Une étape du Tour de France 1964.]
C'est la journée de repos. Raymond Poulidor, comme les autres champions, roule, s'entraîne, teste les braquets sur les pentes environnantes. En guise d'entraînement, Jacques Anquetil, polo gris, pantalon gris et mèche blonde - mèche que l'on ne reverra plus jamais dans le peloton hormis au front d'Evgueni Berzin , l'enfant des loups - débarque au méchoui organisé dans la Principauté par Radio Monte Carlo. Cuissot, rognons, sangria : tout finit dans le buffet de Jacques. Le lendemain, dès les premiers lacets de l'interminable col d'Envalira et vexé par tant de désinvolture, le gratin des pentes - Raymond Poulidor, Federico Bahamontes et Julio Jimenez - place un terrible démarrage et s'envole. Anquetil monte, livide, avec cuissot, rognons et sangria. L'écart se creuse, atteint les quatre minutes, Poulidor peut s'emparer du maillot jaune. Au sommet, mort, raide, à la dérive, Anquetil avale un bidon de champagne, se jette à fond dans une descente rendue extrêmement dangereuse par l'épais brouillard, revient sur les échappés, distance Poulidor et gagne le Tour. Champagne ! Anquetil a tout gagné, sauf, peut-être, le cœur du public qui battait plus pour Raymond Poulidor que pour le Viking de Quincampoix. Parce que Raymond Poulidor, vainqueur de Milan-San Remo, restait, même couvert de fleurs, un petit paysan de la Creuse. Il était l'enfant de la France des villages, des épiceries et des cours de ferme, celle qui regarde passer le Tour, en encourageant, avec toujours plus de chaleur, le champion que la malchance accable. De plus, ces Français que la géographie à l'école ennuya, ont tous un faible pour les champions qui règnent sur les paysages démesurés, affrontent la nature en colère, les éléments déchaînés. Un faible pour Charly Gaul dans la neige de Monte Bondone, sous la pluie mitraillant son corps d'ange dans les grands cols de la Chartreuse. Un faible pour Federico Bahamontes dans la fournaise d'Aubisque, seul et devant sous le soleil meurtrier du Litor. Jacques Anquetil, lui, le chronomaître, ne se bat que contre un ruban de route maigre comme Don Quichotte. Le paysage ne compte pas. Il n'est le tremplin d'aucun rêve, un lieu lisse qui fait d'Anquetil un champion abstrait. Abstrait ? Non, éolien ! Anquetil se bat contre Éole, affronte ses légions de verre et de ouate. Et sa froideur apparente est celle d'une lame de couteau. Regardons-le, splendide, sur son Helyett, son drakkar vert. C'est une sagaie, une flèche, la tête blonde d'une fusée perforant la bidoche invisible du vent.

tonalité pathétique:
le but est de emouvoir et donner de la pitié au lecteur.
les thèmes de la séparation, de la mort, de la misère, de la vieillesse, de la solitude,
l'utilisation des hyperboles et des images fortes

extrait :

[Victime des sévices d'un père alcoolique, la petite Lalie Bijard agonise sous l'œil navré de Gervaise.]
Gervaise, cependant, se retenait pour ne pas éclater en sanglots. Elle tendait les mains, avec le désir de soulager l'enfant; et, comme le lambeau de drap glissait, elle voulut le rabattre et arranger le lit. Alors, le pauvre petit corps de la mourante apparut. Ah ! Seigneur ! quelle misère et quelle pitié ! Les pierres auraient pleuré. Lalie était toute nue, un reste de camisole aux épaules en guise de chemise; oui, toute nue, et d'une nudité saignante et douloureuse de martyre. Elle n'avait plus de chair, les os trouaient la peau. Sur les côtes, de minces zébrures violettes descendaient jusqu'aux cuisses, les cinglements du fouet imprimés là tout vifs. Une tache livide cerclait le bras gauche, comme si la mâchoire d'un étau avait broyé ce membre si tendre, pas plus gros qu'une allumette. La jambe droite montrait une déchirure mal fermée, quelque mauvais coup rouvert chaque matin en trottant pour faire le ménage. Des pieds à la tête, elle n'était qu'un noir. Oh ! ce massacre de l'enfance, ces lourdes pattes d'homme écrasant cet amour de quiqui, cette abomination de tant de faiblesse râlant sous une pareille croix ! On adore dans les églises des saintes fouettées dont la nudité est moins pauvre.











tonalité fantastique:
c'est une histoire surnaturel.

extrait:
A un matin d'hiver, notre école à organiser une visite dans le grand château de M. Jean Pierre, qui est connu par sa richesse et son caractère étrange. Tous les élèves étaient passionnés d'éclaircir le mystère de cet homme.
A notre arrivée, on voyait un très grand château, entouré que des arbres et à coté d'une rivière, il était seul dans le coin car il n'y avait aucune maison d'à coté. Lorsque nous sommes entrés tout le monde était surpris par le charme et la beauté de ce château. Tout était propre et bien rangé. Pendant que nous visitions le château, le prof nous expliquait ce qui caractérisait son propriétaire, il disait qu'i était très étrange et qu'il voulait tj être seul. Ce qui l'a rendu très connu c'est la légende qui disait qu'il se transformait chaque nuit à un vampire, et qu'il se nourrissait sur sang humain.
Mais certaines choses nous montre que la légende est vrai, car le rouge était dans tous les coins du château, tout était bien meublé rien ne manquait à ce château. Et enfin ns voilà devant sa photo il avait un look très bizarre en le regardant aux yeux j'ai senti qu'il veut dire quelque chose d'après son regard, il avait l'impression du coller et du mal à son aise.
Au couché du soleil, on se préparait pour revenir à la ville lorsque le chauffeur nous déclare que le transport est tombé en panne et qu'il ne pouvait pas appelait du secours à cause du tonnerre et puis il n'y avait pas du réseau à l'endroit ou nous somme. Le seul moyen pr s'en sortir, c'était de passer la nuit là bas en attendant le chauffeur qui reviendra jusqu'au matin avec du secours, car il était obligé d'aller à pieds jusqu'à la ville. En attendant tt le monde était assis près du cheminée, le tonnerre déchirait le silence, les portes s'ouvraient et se fermaient toutes seules tous le mondes étaient terrifiés petits et grands. Moi je me concentrais sur la photos de Jean Pierre lorsque soudain, j'ai vu ses yeux et sa bouche bougeait et puis il s'est transformait à un vampire et sortit de la photo, j'ai poussé un grand cri qui a attiré l'intention des autres, tout le monde étaient coincé ne savant rien faire et dans cette instant la lumière s'éteint, il n'y avait que ses yeux rouge qui brillait dans le sombre, tout le monde poussait des cri Lam ma meilleure amie qui est très intelligente avait une torche dans sa poche l' allumait très rapidement et la fixa droit dans ses yeux, la force de la lumière avait un effet sur lui ce qui l'a ralentit un moment, moi j'ai courut derrière lui, pris sa photos et l'a cassé en pièce, à ce moment là il commençait à se détruire devant nos yeux et disparut. tout le monde était choqué il y en a même ceux qui ont perdu conscience, après un instant le chauffeur est revenu avec de l'aide et nous transporta dans nos maisons. Personne n'a pu fermé ses yeux cette nuit mais le lendemain on a eu une bonne récompense moi et mon amie puisqu'on a sauvé la vie des autres, et le château, on l'avait détruit et construit à sa place un parc de jeu.

jeudi 7 mai 2009

la poésie

En France on compte beaucoup de poètes durant plusieurs mouvement littéraires :

le symbolisme:


Le symbolisme est un mouvement littéraire artistique apparu en france et en belgique vers 1870, en réaction au naturalisme et au mouvement parnassien. Ce mouvement s'est exporté jusqu'en Russie, en particulier grâce à valéry brioussov, poète et fondateur du symbolisme russe.
auteurs
-Charles Baudelaire (1821-1867)

Confession

Une fois, une seule, aimable et douce femme,
A mon bras votre bras poli
S'appuya (sur le fond ténébreux de mon âme
Ce souvenir n'est point pâli) ;

Il était tard ; ainsi qu'une médaille neuve
La pleine lune s'étalait,
Et la solennité de la nuit, comme un fleuve,
Sur Paris dormant ruisselait.

Et le long des maisons, sous les portes cochères,
Des chats passaient furtivement,
L'oreille au guet, ou bien, comme des ombres chères,
Nous accompagnaient lentement.

Tout à coup, au milieu de l'intimité libre
Éclose à la pâle clarté,
De vous, riche et sonore instrument où ne vibre
Que la radieuse gaieté,

De vous, claire et joyeuse ainsi qu'une fanfare
Dans le matin étincelant,
Une note plaintive, une note bizarre
S'échappa, tout en chancelant

Comme une enfant chétive, horrible, sombre, immonde,
Dont sa famille rougirait,
Et qu'elle aurait longtemps, pour la cacher au monde,
Dans un caveau mise au secret.

Pauvre ange, elle chantait, votre note criarde :
" Que rien ici-bas n'est certain
,Et que toujours, avec quelque soin qu'il se farde,
Se trahit l'égoïsme humain ;

Que c'est un dur métier que d'être belle femme,
Et que c'est le travail banal
De la danseuse folle et froide qui se pâme
Dans un sourire machinal ;

Que bâtir sur les coeurs est une chose sotte ;
Que tout craque, amour et beauté,
Jusqu'à ce que l'Oubli les jette dans sa hotte
Pour les rendre à l'Éternité ! "

J'ai souvent évoqué cette lune enchantée,
Ce silence et cette langueur,
Et cette confidence horrible chuchotée
Au confessionnal du coeur.

-Paul Verlaine (1844-1896)









-Arthur Rimbaud (1854-1891)









le romantisme:
En France on a donné le nom de romantisme au grand courant littéraire qui a commencé aux environs de 1820 et s'est poursuivi jusqu'aux alentours de 1850, pendant la Restauration et la Monarchie de Juillet. Ce nom désigne un art où l'imagination et la sensibilité prédominent sur tout autre faculté de l'esprit. Plus généralement, il évoque des formules diamétralement opposées à celle de l'art dit Classique des XVIIe et XVIIIe siècles.

"La définition du romantisme, c'est d'être indéfinissable", écrit la duchesse de Duras en 182

auteurs:
-jean jacque rousseau( 1712-1778)











-victor hugo( 1802-1885)

Après la bataille
Mon père, ce héros au sourire si doux,
Suivi d'un seul housard qu'il aimait entre tous
Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille,
Parcourait à cheval, le soir d'une bataille,
Le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit.
Il lui sembla dans l'ombre entendre un faible bruit.
C'était un Espagnol de l'armée en déroute
Qui se traînait sanglant sur le bord de la route
,Râlant, brisé, livide, et mort plus qu'à moitié.
Et qui disait: " A boire! à boire par pitié !
"Mon père, ému, tendit à son housard fidèle
Une gourde de rhum qui pendait à sa selle,
Et dit: "Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé.
"Tout à coup, au moment où le housard baissé
Se penchait vers lui, l'homme, une espèce de maure
,Saisit un pistolet qu'il étreignait encore,
Et vise au front mon père en criant: "Caramba!
"Le coup passa si près que le chapeau tomba
Et que le cheval fit un écart en arrière.
" Donne-lui tout de même à boire ", dit mon père.
Le surréalisme

Mouvement d'écrivains et d'artistes né à la fin de la première guerre mondiale et qui s'oppose à toute forme d'ordre moral et social afin de laisser s'exprimer les forces du rêve et du désir.

auteur:


- Luis Aragon(1897-1982)

Les mains d'Elsa

Donne-moi tes mains pour l'inquiétudeDonne-moi tes mains dont j'ai tant rêvéDont j'ai tant rêvé dans ma solitudeDonne-moi te mains que je sois sauvé
Lorsque je les prends à mon pauvre piègeDe paume et de peur de hâte et d'émoiLorsque je les prends comme une eau de neigeQui fond de partout dans mes main à moi


Sauras-tu jamais ce qui me traverseCe qui me bouleverse et qui m'envahitSauras-tu jamais ce qui me transperceCe que j'ai trahi quand j'ai tresailli

Ce que dit ainsi le profond langageCe parler muet de sens animauxSans bouche et sans yeux miroir sans imageCe frémir d'aimer qui n'a pas de mots

Sauras-tu jamais ce que les doigts pensentD'une proie entre eux un instant tenueSauras-tu jamais ce que leur silenceUn éclair aura connu d'inconnu

Donne-moi tes mains que mon coeur s'y formeS'y taise le monde au moins un momentDonne- moi tes mains que mon âme y dormeQue mon âme y dorme éternellement.

- Paul Eluard(1895-1952)

Espagne
Les plus beaux yeux du monde
Se sont mis à chanter
Qu'ils veulent voir plus loin
Que les murs des prisons
Plus loin que leurs paupières
Meurtries par le chagrin

Les barreaux de la cage
Chantent la liberté
Un air qui prend le large
Sur les routes humaines
Sous un soleil furieux

Un grand soleil d'orage
Vie perdue retrouvée
Nuit et jour de la vie
Exilés prisonniers
Vous nourrissez dans l'ombre
Un feu qui porte l'aube
La fraicheur la rosée

La victoire

Et le plaisir de la victoire.









jeudi 16 avril 2009

le diologue argumentatif n°1

les jeunes et les études
Edouard rentre dans le salon et entend grogné robert
Robert- bon de delà sacré jeunes!!
Edouard- Quesqu'il y a papy?
Robert- Je viens de voire un reportage télé , et plus de 80% des jeunes étudiants sont 5 soir par semaine a faire la fête. Et il se plaignent d'avoir des mauvaise note, il ne suivent pas en court et font que de dormir.
Edouard- mai papy c'est n'importe quoi! avant de faire la fête rien n'empêche de dormir un peu et puis les après midi de week-end ne sont pas la pour les chien, ils sont là pour dormir pour que l'on profite de la soirée. le temps de sommeil est récupérer, je vois pas pourquoi il dormirait en cours.
Robert (enchanter)- donc j'ai raison les jeunes ne savant plus vivre, il dorment le jours et font la fête la nuit.
Edouard- et bien justement papy , la fête c'est profité de la vie plutôt que de rester a regardé la télé sur le canapé, la vie est la pour que l'on en profite et non quel profite de nous, sortir, s'amuser est un bon moyen de dire que la vie n'est pas là pour rien.
Robert- tu a peut être raison mais vivre la nuit c'est s'isoler du monde extérieure, car c'est rester avec se de la fête et se couper de l'actualité du monde et en plus vous fumez et buvez et lorsque vous allez en cours vous racontez les exploits de la veille et sa perturbe le cour.
Edouard (déçu et énervé)- je te trouve incompréhensible papy, il y a les pause pour se raconter les exploits de la veille et de deux l'alcool et la cigarette certes il y en a mais cela n'est pas obligatoire. la fête est en principale la pour libéré le stress des cours car nos profs nous mettent la pression avec les examens.
de toute façon on ne se comprendra pas , moi je vais me préparer se soir j'ai un soirée.

jeudi 19 mars 2009

dialogue théâtral

un couple installé dans un restaurant avec une étoile au guide michelin. Discute.

(enchanté)

Marion - Je trouve ça super les guides car tu vois ça leur apporte beaucoup de clients. Le restaurant est très renommé grâce à cette étoile. T'es d'accord avec moi ?

Sébastien - Tu as raison mais sont-ils tous des bons restaurants ? Non je ne crois pas mais de très bons restaurants n'y sont même pas alors que certains y sont.

(véxée)

Marion - Non tu ne dois pas dire ça, si des restaurants n'y sont pas c'est qu'ils ne sont pas de très bonne qualité. Grâce au guide les restaurants gardent leur qualité tout le temps et l'hygiène en cuisine est irréprochable.

Sébastien - Qu'appelles-tu de très bonne qualité ? Est-ce l'accueille ou le service ? Car pour moi de bonne qualité signifie bon rapport qualité/prix et une cuisine raffinée. Regarde ce que l'on mange.montre du doigt l'assiette.

Marion - La nourriture est très bonne, l'accueille est parfait. Tu te souviens du week end dernier, le restaurant n'avais pas d'étoiles et heureusement car les serveurs ne savaient pas sourir.

(énervé)

Sébastien - Arrête de fumer, sa te détruit le palais ! Ce que nous mangeons ce n'est que du surgelé par rapport au week end dernier et si ce restaurant n'y étais pas c'est parce qu'il n'a pas déboursé d'argent aux auteurs du guide contrairement à celui-ci. Voilà pourquoi il y a autant de mauvais restaurants dans le guide.

Marion - Bon tu veux toujours avoir raison...

(lui coupant la parole.)

Sébastien - mais j'ai toujours raison.

Marion - alors bon appétit.

grille argumentative

pour ou contre les guides gastronomiques


introduction: contre les guides gastronomiques



3 arguments contre les guides gastronomiques:



1-la selection n'est pas bien faite
ex: des entreprises méritent de y ètre alors que d'autre ne devrait pas y ètre



2-les entreprises payent les auteurs des guides pour entré dans les guides:




3-se sont que des entreprises de grande classe
ex: des etoilées




conclusion: en genéral les guides gastronomiques son corronpuent par les entreprises

le dialogue argumentatif

Le dialogue argumentatif:

Dans un dialogue argumentatif, il faut mettre en présence deux thèses qui s'opposent. Il va donc faloir pocéderen deux temps: identifier dans un premier temps les deux thèses en développant l'argumentation puis ensuite se plier aux éxigeances du dialogue.

I. Recherche sur l'argumentation:
On procedera pour chaque thèse de la manière suivante:
Introduction partielle (thèse+présentation des arguments)
- *Argument n°1 + explication + justification + exemple
- *Argument n°2 + explication + justification + exemple
- *Argument n°3 + explication + justification + exemple
Conclusion partielle (bilan)
(* = connecteurs logiques)
On introduira d'une manière générale les différentes thèses en présence, tout comme on fera une conclusion générale.

II. Le dialogue:

Il faudra reprendre l'introduction générale en présentant rapidement la situation et les personnages qui vont défendre les différentes thèses. Ensuite on alternera de la manière suivante les arguments:
- Argument n°1 + réponse argument n°1
- Argument n°a + réponse argument n°a
- Argument n°2 + réponse argument n°2
- Argument n°b + réponse argument n°b
- Argument n°3 + réponse argument n°3
- Argument n°c + réponse argument n°c
Il n'est pas interdit de faires preuve d'intelligence et de répondre par l'argument n°b à l'argument n°1 si il est plus pertinant que l'argument n°a.
On procédera ensuite à la mise en forme de rendre vivant ce dialogue, à savoir:
- emploi des guillemets
- emploi de tirets
- emploi de verbes introducteurs vaiés
- emploi de ponctuation
- emploi d'interjections
- emploi didascalies (théâtral)
- faire vivre par la narration les personnages
- terminer par une conclusion (soir l'un a convaincu l'autre, soir ils repartent sur les mêmes principes) qui souligne l'évolution de la situation après l'échange d'arguments.